* IDENTITÉ
Nom : /
Prénom : Blanche-Neige
Surnom (facultatif) : Blanche
Sexe : Féminin
Age : 15/16 ans
* DESCRIPTION
Taille du bonnet : "Une bombe à grosses pommes". Voilà comment le prince Ludwig m'a décrite. Je fais effectivement un généreux bonnet D.
Physionomie* : Ma mère a souhaité une enfant à la peau blanche comme la neige, aux cheveux d'un noir d'ébène et au lèvres rouge sang. Je suis cette enfant, mais ma mère m'a donné une beauté hors du commun. Ma chevelure tombe en vagues de jais jusqu'à ma délicieuse chute de reins. J'ai de beaux yeux bleus/noirs, en amande. Tout ce foncé met en valeur l'éclat d'albâtre de ma peau. Mes lèvres scintillent comme le plus pur des rubis et quand je souris, elles découvrent deux rangées de petites dents blanches et bien rangées. J'ai un cou fin et délicat, un peu long mais pas trop, qui attire les baisers de mes amants. La courbe des mes épaules suit celle de mon cou, me donnant une silhouette fine et légèrement fragile.
Mon décolleté s'épanche sur un généreux bonnet D mis en valeur par mon ventre plats. Mes hanches bien dessinées mais pas trop apparentes confèrent à mon coprs une once de séduction supplémentaire.
Je me vêt généralement de robes courtes et évasés, ou alors longues et moulantes. Mais elles sont toujours conçues pour me mettre en valeur, me faire paraître pure, tout en me rendant aguichante. Mes cheveux sont maintenus dans un rubans, la plupart du temps. Mais je me plaît à en faire une coiffure élégante.
Psychologie* : Ma psychologie externe se résume à ceci : puisque je suis la plus belle, j'ai le droit d'être la plus heureuse. Mais au plus profond de moi se terre un besoin d'amour qui, si je ne l'enfermais pas, me consumerai. Mais je n'ai jamais eu d'amour, j'y ai donc renoncé. Les parents n'en apporte pas, je n'aurais donc jamais d'enfant. De toutes manières, les hommes ne pensent qu'à dominer leurs épouses. Je ne me marierai donc jamais sérieusement. Sinon, je suis à double tranchant : tour à tour gentille et glaciale, séductrice enjôleuse ou femme indifférente, je m'adapte aux personnes que j'ai en face de moi. Mais le point qui me caractérise à tout moment, c'est que je refuse une éventuelle domination. Je suis et je resterai ma propre maîtresse.
Signe particulier ? Une lueur dangereuse dans mes yeux quand je suis en colère.
* HISTOIRE
Votre conte*.
Née dans un pays voisin de celui du prince Ludwig, j'étais destinée dés la naissance à devenir sa fiancée. Mais mon père en décida autrement. En effet, dés l'âge de sept ans, ma beauté était telle qu'on ne voyait que moi, où que j'aille. Ma mère, fort belle elle aussi, l'était cependant moi, et le Roi tomba fou de moi. J'ai connu mon premier rapport charnel la même année,e t avec mon propre géniteur.. La blessure que cet évènement provoqua en moi me poussa à ne compter que sur moi même. Je n'ai ainsi pas eu d'enfance. La puberté atteinte, les comptes et princes de passages ne se gênaient pas pour me reluquer sans vergogne, et mon lit devint rapidement une autoroute diplomatique : nombreux étaient les dirigeants qui exigeant de coucher avec moi, sinon ils guerroieraient contre mon royaume...
Quand la jalousie de ma mère provoqua ma fuite dans la forêt, je connus la paix pour la première fois de ma vie... Mais elle fut de courte durée. Près de deux mois après que les nains m'eurent accueillie dans leur demeure forestière. Je reçus la visite d'un tueur. J'en réchappait de peu, grâce au sacrifice d'un de mes compagnons de petite taille. Par la suite, chaque assassin fut défait de la même façon. Je sacrifiait sans remord les nains. Quand ma mère m'offrit le repos avec sa 'pomme empoisonnée', je sautait sur l'occasion. Le Prince Ludwig m'éveilla de ma douce léthargie. Je ne tombait guère sous son charme de prétentieux, et je le manipulais, lui et son père, pour me venger de ma mère. Celle-ci dansa jusqu'à la mort avec des souliers de fer rouge aux pieds. Mon père, abattu, perdit complètement la guerre lancée par le Roi. J'étais ainsi vengée de ceux qui étaient la cause de toute mes souffrance.
Mais je n'était pas au bout de mes peines. Le prince, qui ne m'aimait pas plus que je ne l'aimais, décida de mettre fin à mes jours. Lors de son petit discours, je sortis un revolver de ma jarretière et tirai sur le reflet du jeune homme... Celui-ci s'approcha alors, un bout de miroir brisé à la main et me l'enfonça dans le ventre. Puis il demanda à son valet de le "débarrasser de ce cadavre répugnant". Une fois mon corps parti, ce fou mit le feu à la pièce qui contenait les femmes mortes qui assouvissaient les désirs pervers de ce maudit personnage. Cependant, en me transportant ailleurs, Wilhelm se rendit compte que mon coeur battait toujours, faiblement. Il me donna à soigner à une médecin. Celle-ci me remit sur pied rapidement. Nul ne savait que j'avais survécu, mais moi, en revanche, je savais ce qu'il se passait dans le royaume... J'allais m'installer dans mon ancien château, pour mettre sur pied ma vengeance...
* HORS-JEU
Comment avez-vous connu le forum Ludwig Revolution ? : Je cherchait un forum, et je suis tombé sur celui là. Le nom m'a fait envie, et hop ! Je suis allée voir
Depuis combien de temps rôleplayez-vous ? : un an tout rond et un mois !
Pourquoi vous êtes vous inscrit(e) ici ?: Parce que je suis une fan inconditionnelle de Kaori Yuki (I love her for ever ) et de son manga Ludwig revolution. Alors peu importe qu'il y ait peu de monde d'inscrit, je voulait contribuer à l'extension de ce paradis *__*
Quel âge avez-vous ? Fille ou garçon ?: Jeune fille de 17 ans et demi ^^
Jeu 31 Juil - 18:40
